L'arche avait franchis l'atmosphère terrestre. Jamais Jesse n'aurait cru une chose pareille possible. Enfant son père lui raconter comment le métier de garde serait important sur terre mais jamais il n'avait pensé qu'il ferait partit de la génération de garde a pouvoir mettre les pieds sur terre.

Au moment ou l'arche entra dans l'atmosphère une secousse fit perdre pied au garde qui tentait de garder le calme. Il se cogna et s'évanoui. Lorsqu'il les ré ouvrit l'arche n'était plus là et seule une partit des membre de l'équipage se trouver dans cette partit isoler.Beaucoup de mort. Jesse n'avait pas l'aire trop amocher mais il avait réellement mal de partout.

Il réussie tout de même a ce lever. Empoigna un petit sac de provision qu'il avait préparer et qui était resté intacte. Et commença a s'extraire de la navette. Il devait retrouver les autres au plus vite.

Il commença une marche qui lui semblât durer des années. Au bout de 3 jours de marche et totalement a bout de force et de provision il se jeta dans un ruisseau pour se baigner et se réhydraté. Si l'eau était potable ? Il n'en avait rien à faire. Cependant quelqu'un ou quelque chose se mit à lui chatouillé les pieds il sortit en hurlant de l'eau et découvrit sa jambe droite en sang. Il n'avait pas eu tant mal que ça mais il fallait dire qu'il avait un bon niveau de tolérance.

Il s'allongea sur un rocher loin de cette eux bizarre, lorsqu'il entendit un bruit. Il s'arma de son arme de service avant de hurler

"Qui est la je vous ai entendu ! "

Cela faisait des jours que Nemyt n’avait pas croisé âme qui vive dans ces bois. Une solitude qui n’allait pas pour lui déplaire alors qu’elle n’avait pas à justifier sa présence en ces lieux où elle n’était pas forcément la bienvenue. Une vagabonde au sein des terres du Kongeda, elle savait que cela faisait tâche, mais il était hors de question qu’elle retourne là où bon nombre considérait que c’était sa place : dans la Zone Morte. Alors elle était partie plus au sud, ayant traversé les terres Trikru, Yujleda, pour finalement s’orienter vers Louwoda. Les années de voyage de la jeune femme lui avaient appris à cartographier le territoire des différents clans et, s’il elle avait une carte dans ses affaires, elle ne l’utilisait que très peu désormais.
Elle se savait non loin de la frontière Trikru, quand elle fit une halte à une rivière. Un besoin de se ravitailler et si elle avait réussi à chaparder de la nourriture, elle se servait des différents points d’eau pour s’hydrater et se faire une toilette sommaire. Nemyt avait rarement le temps de vraiment prendre soin d’elle et de profiter, alors qu’elle savait la nature dangereuse et certains guerriers à l’affût de tout intrus. Elle n’appartenait à aucun clan, elle était une indésirable. On lui avait parfaitement fait comprendre.
Reprenant sa route, la vagabonde avait décidé de remonter le cours d’eau pour rejoindre Trikru. Elle avait entendu dire que certaines choses s’agitaient là-bas, qu’un nouveau peuple était apparu. Des rumeurs d’oiseau de fer tombant du ciel circulait et elle avait elle-même vu l’un de ces engins métalliques pourfendre le ciel dans un trait de feu. Se rapprocher autant de la capitale pouvait lui être dangereux, mais tout comme elle avait appris à se débrouiller seule, elle avait appris à ne plus craindre le danger. On lui avait déjà pris la vue d’un œil dans un combat, elle avait alors appris à constamment se relever.
C’est en suivant cette rivière, devenant ruisseau, qu’elle entendit avant d’apercevoir au loin une silhouette sur un promontoire rocheux. À l’affût, Nemyt s’était dissimulée dans les fourrées, empoignant alors l’un de ses nombreux couteaux. Tous dissimulés, il était difficile de deviner l’armement qu’elle possédait, ce qui rendait plus difficile de la désarmer. Elle pouvait ainsi observer en se sentant en sécurité, découvrant alors un homme affairer à observer quelque chose. En voulant approcher, elle sentit une branche craquer sous le poids de son pied, la faisant maudire en silence. Malgré toutes ses précautions, il lui arrivait encore parfois de se laisser avoir par son angle mort.
L’inconnu se tourna en sa direction, sortant une arme à feu. La vagabonde eut un mouvement de recul dans les fourrées alors qu’elle identifiait cet armement comme celui interdit par les Maunons. Elle n’était peut-être pas originaire de la coalition, mais elle Connaissait cet ennemi craint de tous.
— Chon yu bilaik ?
(Qui êtes-vous ?)
Il avait beau avoir parlé en gonasleng, Nemyt avait usé de sa langue natale pour s’exprimer. S’étend redressée, elle restait à bonne distance, usant des feuilles des fourrés pour dissimuler sa propre arme. Elle ne voulait pas baisser sa garde, ne sachant à qui elle avait affaire. Mais avec cette meilleure vue qu’elle avait désormais, elle pouvait voir l’écoulement de sang.
— Qui vous a blessé ?
Cette fois, elle avait utilisé cette langue même dont l’homme avait usé. Elle ne savait rien de lui, mais son accoutrement lui enlevait la piste du Maunons. Si elle n’en avait jamais rencontré, elle avait entendu parler de cette allure de monstre qu’il pouvait avoir alors qu’ils étaient couverts d’un bien étrange habit. Alors elle se concentrait sur la blessure. Nemyt devait savoir si elle risquait de voir débarquer des guerriers de ce clan où ils se trouvaient ou tout autre chose. Peut-être n’était-ce rien, mais elle refusait de prendre ce genre de rencontre à la légère.